Les contaminations par l’aliment,
le chaînon manquant de
la biosécurité
Au cours des dernières décennies, la population porcine mondiale a été frappée par plusieurs maladies émergentes. Pensez aux dégâts considérables causés par des maladies comme la fièvre aphteuse, le SDRP, la DEP et, plus récemment, la peste porcine africaine (PPA). Tous ces défis ont quelques caractéristiques en commun : ils sont tous viraux, ils ont la capacité de se propager avec un minimum de particules virales, ils ont un impact économique énorme et la biosécurité est la principale méthode pour empêcher les exploitations d’être touchées.
La Biosécurité, fermer toutes les portes d’entrée des agents pathogènes
De nos jours, lorsqu’on parle de biosécurité, la principale préoccupation est d’empêcher les personnes, les animaux nuisibles, les matériaux et même l’air d’entrer dans une exploitation en étant porteurs de maladies. Le moyen le plus simple consiste à restreindre l’entrée. Cependant, il est parfois essentiel d’avoir des contacts avec le « monde extérieur ». Les porcs doivent aller à l’abattoir, le fumier doit être transporté dans les champs et les aliments et l’eau doivent pénétrer dans l’exploitation. Tous ces différents points de contact constituent les points faibles de la biosécurité. La prise de mesures managériales appropriées et l’utilisation de produits antiseptiques adéquats deviennent des pratiques de plus en plus courantes, tandis que l’atténuation des risques liés à l’alimentation est souvent oubliée. Il est pourtant prouvé par la recherche que l’alimentation peut aussi être un transmetteur de virus (Niederwerder et al.).
Fermer la porte aux virus d’une manière durable et rentable
Imaginez qu’il soit possible de traiter les aliments pour animaux avec un produit durable et sûr de manière à réduire au maximum la propagation des virus tout en augmentant considérablement les performances des animaux. Ne s’agirait-il pas d’une option idéale pour l’animal, l’agriculteur et l’ensemble du secteur ? C’est exactement l’idée qui sera « cultivée » par une équipe mondiale de chercheurs, de développeurs et d’intégrateurs indépendants.
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